HENRI WAGNEUR
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  CONSEIL !
ANTI-CIRQUES avec animaux
VS
DÉFENSEURS des animaux

No: 17 mis à jour le 4.11.2024


Réflexion sur le courant actuel de personnes qui se prétendent agissant pour le bien des animaux


Table des matières

INTRODUCTION
Chapitre 1 LES ANTI-CIRQUES
Chapitre 2 LES VRAIS DÉFENSEURS DES ANIMAUX
Chapitre 3 LA SOLUTION
Chapitre 4 ANIMALISTE


INTRODUCTION

Cette réflexion ne tient compte que de mes propres expériences qui débutèrent en 1978 avec ma première tournée au cirque Nock en Suisse et qui se sont terminées fin 2016 avec le cirque Piedon en France.
Elle montre les conditions dans les pays  où j'ai eu mes activités principalement, mais aussi dans d'autres pays d'Europe.
Elle fait suite à la polémique qui est relancée régulièrement et la confusion qui se crée entre les associations de défense des animaux (les vraies), les végans, les antispécismes, les animalistes et les anticirques avec animaux.


Chapitre 1 LES ANTI-CIRQUES

Les activistes anti-cirques avec animaux qui manifestent munis de pancartes et qui haranguent les familles qui désirent assister aux spectacles des grandes enseignes circassiennes, représentent une forme de racisme nouveau.

Il suffit de suivre les commentaires de leurs souteneurs sur Internet :
Grossiers
Diffamatoires



Mensongers





Offensants







Fanatiques

Allant jusqu'à des menaces de mort.

Dans la propagande sur leurs sites et sur les réseaux sociaux, ils utilisent des vidéos qui ne sont plus d'actualité, tournées au siècle dernier dans les pays de l'Est ou d'Asie où la situation dans certaines régions est encore épouvantable pour nos amis les animaux.

Ils publient aussi des affirmations pleines de grossières erreurs démontrant ainsi leur totale incompétence en matière de connaissance des animaux.

Par exemple :
J'ai vu  sur FB une activiste qui montrait la vidéo d'un chameau sans incisives sur la mâchoire supérieure laissant supposer qu'elles avaient été arrachées par leur dresseur et une autre décrivant les marques sur les genoux de dromadaires argumentant qu'il s'agissait de cicatrices de sévices perpétrés dans un cirque.
Ces personnes démontrent leur parfaite ignorance sur le sujet, car les camélidés, à l'instar des ruminants, n'ont pas de dents (incisives) sur le devant de la mâchoire supérieure (à l'exception de la Vache Qui Rit!) et les marques sur les genoux sont naturelles et formées de durillons épais faits pour les protéger des brûlures lorsqu'ils se couchent sur le sable et les cailloux du désert...

Régulièrement d'autres internautes confondent éléphants africains et indiens en commentaires de photos (c'est connu un éléphant, ça trompe !)

Les anti-cirques avec animaux ne proposent aucune solution crédible, pour la bonne et simple raison que les cirques n'en ont pas besoin !

Ils disent :
    -"Mettez les éléphants des cirques dans des sanctuaires" (ou plus stupide, relâchez-les en liberté).
Ces sanctuaires n'existent pas (ou si peu, justement en mains des circassiens pour leurs propres éléphants) et ne rendraient pas ces animaux plus heureux, car les éléphants ont besoin des personnes qui s'en sont occupés pendant des années.

Certains éléphants s'attachent tellement à leur dresseur qu'une fois séparés d'eux ils se laissent mourir, ce n'est pas une légende mais bien réel, car je l'ai tragiquement vécu.

En plus ceux qui n'ont pas vécu toujours ensemble ne se lient pas aussi facilement d'amitié avec d'autres, les dresseurs peuvent le confirmer, il faut parfois les séparer.

Les zoos sont très peu aptes à accueillir de nouveaux pachydermes, certains en ont déjà et d'autres ne sont pas équipés pour en recevoir.

Et le plus ironique :
La plupart des anti-cirques avec animaux sont aussi contre les zoos !

Certains projets de sanctuaires pour éléphants sont en réalité une forme de zoo, malgré qu'ils disent que la taxe d'entrée pour voir les pachydermes n'est pas le prix d'un billet d'entrée  mais un don !

Qu'elle ironie, les vrais défenseurs des animaux ne sont pas idiots à ce point-là !

Ce qu'ils ne disent pas, c'est que les éléphants qui sont actuellement dans les cirques, sont âgés, qu'ils vont disparaître d'eux-mêmes par la simple loi de la nature et pour la plupart plus vieux que dans la vie sauvage.

Il est vrai que concernant les africains, ils ont été prélevés (au XXème siècle) de la vie sauvage lorsqu'ils étaient bébés.
Mais en général dans des réserves où ils étaient en surnombre, c'est fini, le commerce est interdit à l'exception de quelques jeunes sujets sauvés des braconniers et élevés par les gardes qui finiront dans quelques grands zoos sélectionnés fautes de pouvoir les relâcher.

Ou achetés par des pays du Golfe, riches, très riches, très très riches !

Quant aux asiatiques, la plupart des survivants ont été achetés en Asie dans des pays qui utilisaient leurs mères pour des travaux dans les forêts ou pour promener les touristes.
C'est fini aussi pour eux, il est désormais, depuis longtemps, interdit d'importation en Europe, pour d'autres pays le commerce continue malheureusement !

       
Ils disent :
      - "Remettez en liberté les fauves des cirques".
Encore un acte impossible :
Ces animaux n'ont jamais été habitués à se nourrir seuls, ils sont nés en captivité depuis des générations, en plus ils seraient dangereux pour les populations car ils n'ont pas peur de l'homme.
Pour information, il y aurait en France plus de cinquante cirques qui possèdent des fauves.

Ils disent :
   - "Prenez exemple sur les cirques sans animaux comme le "Cirque du Soleil".

Cirque subventionné, et aux prix des places exorbitants.
Tout d'abord, les cirques dits contemporains, n'attirent pas du tout les mêmes spectateurs, car ils sont plus appréciés par un public adulte.
Le cirque traditionnel avec animaux reste un spectacle type pour les enfants (justement grâce en partie à leurs animaux).
Et puis les cirques contemporains survivent pour la plupart grâce à de substantielles subventions (même en France).
D'ailleurs la plupart des anti-cirques avec animaux avouent qu'ils n'ont jamais assisté à une représentation d'un Cirque du Soleil.

Ils disent aussi :
   - "Les associations contre les animaux dans les cirques ont réussi à faire fermer le plus grand cirque du monde, Ringling, Barnum et Bailey ".
C'est parfaitement faux et certifié par son directeur Kenneth Feld.

D'ailleurs même certaines associations qui avaient dénoncées les soi-disant mauvais traitements aux animaux ont été contraintes à payer de grosses sommes de dédommagement au cirque.

A la suite de demandes des anti-cirques avec animaux certaines communes interdisent les cirques avec animaux. Elles ne se soucient pas du bien-être des animaux mais cherchent sous forme de racolage à s'octroyer une bonne conscience afin de s'attirer quelques partisans de plus.
Lors de discussions en conseil municipal elles n'écoutent que l'avis des anti-cirques avec animaux décrivant des situations qui n'ont rien à voir avec la réalité.
Ceux qui prennent ces décisions n'ont pour la plupart jamais visité un cirque.

De plus ces interdictions ne seraient pas légales d'après le
Président de l'Association des Maires de France.

D'autres communes plus perfides, ne proposent plus que des places en dehors des villes, ou trop chères (certaines vont jusqu'à tripler sans avertissement le prix de l'emplacement d'une année à l'autre), ou encore interdisant l'affichage de publicité. Ce qui revient au même car les cirques n'ont plus aucun intérêt à s'y installer.

Les plus vicieuses ont planté des arbres sur leur parking de sorte qu'un chapiteau ne peut pas y être monté !

C'est lâche et lamentable !

A noter que les forains ont aussi les mêmes discriminations, mais pourtant ils n'ont pas d'animaux !

Ne s'approcherait-on pas d'une forme de racisme comme supposé plus haut envers les gens du voyage ?

En supposant qu'un jour tous les cirques ne puissent plus produire des spectacles avec animaux, que se passerait-il ?

Tout d'abord par soucis de concordance et d'honnêteté, il faudrait aussi dans le même temps interdire toutes les compétitions et présentations qui utilisent des animaux exotiques, sauvages ou domestiques, bien plus lucratives que les animaux de cirque ne sont, et c'est là malheureusement que l'intégrité des animaux n'est souvent pas respectée, notamment jusqu'à la mise à mort cruellement !

Des milliers de personnes se retrouveraient sans travail, sans lieux pour se poser, sans argent pour nourrir leurs animaux, leurs véhicules ne pourraient plus se déplacer, et qu'adviendrait-il du futur de leurs enfants ?
Ce serait une crise humanitaire (et animale) de plus.

Ils disent :
Prenez l'exemple du Mexique qui avait interdit les animaux dits sauvages dans les cirques :
Le résultat a été que des centaines de tigres et de lions ont dû être euthanasiés (on parle de plus de 350) dont une grande quantité a fini dans les échoppes de taxidermistes, les autres vendus à des privés échappant ainsi à tout contrôle.
De nombreux cirques ont fait faillite.
Aux dernières nouvelles :
L 'État serait en partie revenu en arrière ?


Chapitre 2 LES VRAIS DÉFENSEURS DES ANIMAUX

Ce sont toutes sortes d'associations de protections des animaux.

Elles ont toute mon estime
lorsqu'elles recueillent des chiens abandonnés, lorsqu'elles organisent des campagnes de stérilisation pour des chats.

Je les soutiens
lorsqu'elles construisent des refuges pour les animaux abandonnés ou maltraités.

Je ne manque pas de les féliciter
lorsqu'elles réussissent à faire fermer des abattoirs où les animaux sont suppliciés, de même pour des élevages infâmes.

Je leurs tire mon chapeau
lorsqu'elles déposent des plaintes en bonne et due forme, contre des élevages, contre des privés et aussi contre des cirques, en cas de mauvais traitements avérés sur leurs animaux.

Il est possible que certaines de ces associations ont commis ou commettent encore quelques abus financiers, mais il ne faut pas les mettre toutes dans le même panier.

Je citerais en exemple une association suisse qui lutte contre la maltraitance animale et la chasse et qui a réussi à faire de sorte que deux grandes chaînes de supermarchés ne s'approvisionnent plus chez des éleveurs de porcs qui les maintenaient dans des conditions infâmes.
Les organes de contrôle étaient pourtant au courant, mais n'avaient pas réussi à faire fermer (ces élevages ont fini par s'arrêter faute de clients).

En Suisse les associations de protections des animaux ont collaboré en toute sérénité pour établir de
nouvelles lois très strictes.
Dimensions larges des enclos, cahier des sorties journalières, pour tous les détenteurs d'animaux de loisir ou de rente, tous les zoos et pour les cirques.

D'ailleurs certains cirques ont renoncé d'eux-mêmes aux fauves et aux éléphants car les exigences sur les dimensions des enclos et des cages sont telles, qu'elles ne sont plus compatibles à la plupart des places dans les villes, soit parce que la surface proposée est trop petite ou soit parce que le prix de location au mètre carré est trop élevé.

En Suisse depuis 2017 il n'y a plus de cirque avec éléphants, seuls deux cirques ont engagé des fauves en 2016 et un en 2017 et sont surveillés dans chaque ville par les vétérinaires responsables du contrôle de l'application des réglementations.

Des plaintes des associations ont été déposées en 2016 et n'ont donné aucune suite car il a été constaté que le animaux étaient bien traités et les enclos largement plus grands que les réglementations en vigueur l'ordonnaient.
En Suisse il y a parfois encore certains cirques qui présentent des fauves, ce sont des cirques étrangers qui font une brève incursion dans notre pays.

Je sais aussi qu'en Allemagne, à chaque fois qu'un cirque s'installe dans une ville, l'autorisation d'ouvrir n'est octroyée qu'à la suite de la visite de contrôle à laquelle assiste un vétérinaire officiel afin de constater l'état des animaux et seulement si les installations de ceux-ci sont réglementaires.

Dans ce même pays les animaux dits "exotiques ou sauvages", de devraient plus être autorisés à être présenté.  Mais...
Pourtant c'est aussi le cas en Italie.
Ces deux pays ont de magnifiques numéros de fauves dressés par des personnes dignes de faire ce travail.


Chapitre 3 LA SOLUTION

Il n'y aura jamais de solution idéale pour les animaux et leurs détenteurs. Mais la meilleure manière d'agir est de faire élaborer des lois mieux adaptées à tous les animaux.
Pas seulement dans les cirques, mais dans les élevages, sur les champs de courses, chez les chasseurs, les fermes et naturellement chez tous les particuliers.
Pour tous les animaux naturellement :
Du poisson rouge au rhinocéros comme c'est le cas en Suisse (oui pour les poissons rouges aussi, vous avez bien lu !).

Il faut faire établir les réglementations et les lois par des personnes compétentes connaissant les animaux (vétérinaires, éthologues, éleveurs et dresseurs) les faire approuver et entériner.

Et..

Plus important :

Les faire appliquer, ce qui n'est déjà pas le cas avec les réglementations actuelles.

Je me pose souvent les questions :
"La vie d'un éléphant vaut-elle plus que celle d'un cochon ? "
        "Celle d'un tigre plus que celle d'un chien ?"
                "Celle d'un cheval plus que celle d'un taureau ?"

Pour moi tout animal est un être vivant qui a droit à autant de respect qu'il soit domestique, exotique ou sauvage, petit ou grand.
Nés en captivité, sans l'avoir choisi, ils ont le droit d'y rester, mais dans de bonnes conditions et en sécurité, et le cirque peut leur offrir cela.
Il est habitué à l'homme et ne peut plus vivre sans sa protection.

Au fait, quelles solutions viennent être proposées par les prétendus animalistes pour :

Le gavage ?
La corrida ?
Les courses de chevaux ?
L'abattage rituel ?
Expérimentation animale ? 

Il faudra bien inclure dans la réglementation toutes les formes d'utilisation des chevaux, on ne peut pas se focaliser que sur les animaux des cirques !

Oui mais les activistes disent que déjà les expériences sur les animaux n'ont plus lieux grâce à eux, que c'est déjà un bon début !
Eh bien non !
Ces expérimentations se sont exportées dans des pays où il n'y a aucun contrôle.
Loin des yeux, loin du cœur. Et c'est pire qu'avant !
Exemples horribles :
En Suisse il y avait deux " fermes " où l'on prélevait de l'urine et du sang des chevaux.
Je les ai vu. C'est pour cela que j'en parle.
L'une à Berne route de Morat, pour  en extraire du sang ou de l'urine l'hormone de grossesse sur des juments portantes  utilisée pour améliorer la fertilité.
L'autre en dessus de Lausanne où l'on infectait les chevaux avec du venin de serpent, puis on prélevait du sang pour en extraire l'anti-venin fabriqué par les chevaux.
Des chevaux qui étaient censés partir à la retraite ou à la boucherie, passaient cachés quelques mois dans ces écuries.
Certains chevaux de concours ont passé par là.  Avant de finir à la boucherie...

Ces fermes ont été déplacées en Amérique du Sud, au Canada, en Espagne.
En Islande aussi. La scène semble idyllique, des dizaines de chevaux islandais paissent paisiblement dans un pâturage.
Mais ce qui se passe ensuite suscite la controverse, dans un box, un homme insère une canule dans le cou d'une jument enceinte pour prélever du sang - plusieurs litres par semaine dans une "ferme à sang" située à Selfoss, dans le sud de l'Islande. Quand le poulain nait, il est souvent éliminé pour que la jument puisse à nouveau être fécondée.
Objectif, extraire l'hormone de grossesse, la PMSG, utilisée pour améliorer la fertilité d'autres animaux, vaches, moutons ou porcs.   Loin des yeux - loin du cœur !

Un autre exemple, en Suisse ;
Le transit Nord Sud et Sud Nord des animaux vivants de boucherie est interdit depuis quelques années déjà, résultat :
Les trains routiers contournent la Suisse et les animaux voyagent plus longtemps !
Dans d'autres pays d'Europe des animaux voyagent des jours entiers sans boire et sans manger, pourquoi ne pas interdire les transports des animaux de boucherie vivants de plus de 200km par exemple, d'obliger un abatage de proximité et de faire voyager la viande dans des frigos ?
Je ne pense pas que cela doit coûter beaucoup plus cher.

Je me rappelle avoir assisté au débarquement à Bari dans les Pouilles de chevaux sud- américains qui avaient fait un voyage de plus d'un mois dans un cargo italien (ils étaient plus d'un millier dans le même bateau et nombreux mourraient pendant le voyage).
J'arrivais à en sauver quelques-uns à chaque fois, mais la plupart des autres finissaient sur les marchés de boucherie du nord de l'Italie (Montichiari, Piacenza, etc..) avec encore à la clé un long voyage pénible en camion.

J'ai vu aussi en Espagne des élevages de chevaux de boucherie immondes, ces animaux vont ensuite être abattus en France et ailleurs ou la viande de cheval est appréciée après un ultime voyage.

Les végans,  les végétariens et les végétaliens disent avoir la solution : "Ne mangez plus de viande !"


Voilà pourquoi la solution ou les solutions ne sont pas évidentes à trouver et que manifester devant un établissement ne mène à rien si ce n'est qu'à démontrer une forme de racisme contre les gens des cirques qui sont pour la plupart des grands travailleurs respectant et aimant leurs animaux bien plus que les simples citoyens ne peuvent l'imaginer et travaillant bien au delà de l'âge de la retraite...
Il suffit de vivre avec eux pour s'en rendre compte.
Il y a naturellement comme dans toute communauté, "des brebis galeuses" et ce n'est pas une raison pour punir les autres.

Avec cette mentalité, on devrait interdire aussi toutes les voitures parce qu'il y a quelques chauffards...

A réfléchir dans le calme !


Chapitre 4 ANIMALISTE

Petite réflexion sur le mot "animaliste" utilisé à tort et à travers :
Parlons français.    ANIMALISTE

 
  Signification :    ISTE (qualité)     Ce suffixe vient de la terminaison verbale grecque "izèin".

C'est un suffixe d'adjectif qui indique une qualité, une caractéristique, par exemple : optimiste.
Certains adjectifs de cette série peuvent être nominalisés : Un optimiste.

Utilisé en suffixe de nom, il indique le plus souvent une profession ou une activité.
Exemples : accordéoniste, accessoiriste, altruiste, artiste, saxophoniste, capitaliste, communiste, contrebassiste, dentiste, etc.

Dans tous les cas :
J'en déduis que sont qualifiés "d'animalistes" les personnes dont les buts sont de défendre les animaux et qui ont décidé de vivre en harmonie avec leurs animaux.

Mais en tout cas pas :


- Ceux qui vandalisent le travail de ceux qui possèdent des animaux !
- Ceux qui enferment leurs enfants dans des cages devant des établissements qui possèdent toutes les autorisations de détenir leurs animaux.
- Ceux qui menacent de mort et autres injures par réseaux sociaux interposés.
- Ceux qui se réjouissent de la mort d'un circassien.
- Ceux qui brandissent des pancartes sur la maltraitance des animaux en tenant à la laisse leur chien sans boire et en plein soleil. Ou qui le laisse seul dans leur petit appartement de 7h00 du matin à 19h00 du soir.
- Ceux qui exposent (sur Internet) photos et vidéos mensongères datant pour la plupart du siècle dernier et de plus hors d'Europe.
- Ceux qui récoltent des milliers d'Euros pour soi-disant aider les animaux recueillis et finissent par les euthanasier après les avoir fait vivre leur dernier séjour dans des lieux sordides ressemblant plus à des camps rappelant d'horribles souvenirs.

Donc si j'ai bien compris ; les vrais "animalistes"" sont les gens des cirques !

Parce qu'ils :
- Travaillent dur pour offrir à leur animaux le maximum de confort possible.
- Essaient de donner à leurs enfants la meilleure éducation malgré que certaines villes refusent ceux-ci dans leurs écoles.
- Proposent de démontrer que leurs méthodes d'éducation utilisées avec leurs animaux sont compatibles avec leurs dispositions naturelles. Mais les soi-disant défenseurs refusent en général de venir dans leurs établissements pour le constater.
- Utilisent une grande partie de leurs gains pour fournir une nourriture adaptée à chaque espèce, des contrôles réguliers auprès de vétérinaires spécialisés et ne rechignent pas à dépenser de grosses sommes d'argent pour les soigner.
- Aiment réellement leurs animaux contrairement à ce que disent les associations qui sont contre les animaux au cirque.
-- Préfèrent souvent soigner leurs animaux plutôt d'eux-mêmes.

Pour clore le débat :
Les vrais "animalistes" sont les circassiens qui sont aussi comme certaines associations contre les corridas, contre les élevages pour la fourrure, contre les élevages intensifs et contre certains abattoirs où les animaux sont tués sans ménagement.

Naturellement comme dans toute société il y a les mauvais et les bons ; chez les circassiens et les associations.

Les vrais végétariens et les vrais végétaliens sont en général des personnes qui gardent leurs convictions pour elles et n'essaient par des propos mensongers de convertir le monde entier à leur alimentation.
J'ai du respect pour certains d'entre eux.

Sommes-nous les vrais "animalistes" ?


Vous avez des questions sur ce sujet ou sur un autre (soins, équitation) :
N'hésitez pas à me demander.
Dans la mesure des mes connaissances je vous répondrai, sans vouloir me substituer aux vétérinaires bien entendu.


N'hésitez pas, contactez-moi par mail, je me ferai un plaisir de vous répondre.
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